*Naissance 6 rue du Poivre à Gand ( 6 Peperstraat, Gent )
*Une petite enfance heureuse en classe de maternelle à l'institut du "Nouveau Bois" 51 rue Longue des Violettes
*Déménagement dans un hôtel particulier dans l'Edelstraat
Le musée A r n o l d V a n d e r H a e g h e n (eldstraat 82B-9000 Gand) fut l'ancienne demeure de Maeterlinck. Aujourd'hui, il est possible d'y voir la bibliothèque de
l'auteur. L'hôtel particulier date du XVIIIe siè cle et fut construit d'après les
plans de l'architecte David 't Kindt.
*Une adolescence beaucoup plus tourmentée au collège jésuite Sint Barbara
les lieux où il rencontrait ses amis comme Wilde, mallarmé ou villiers de l'isle d'adam:
la closerie des lilas 171, Boulevard Montparnasse
Mallarmé ,ami de maeterlinck, emménage en 1875 au 87 rue de Rome.
21 rue Monsieu le prince( résidence de Verlaine)
14 rue Royzer Collard
Brasserie des Martyrs 7 et 9 rue des Martyrs et 8 rue Notre-Dame-de-Lorette
café Voltaire
restaurant Polidor
théâtre de l'oeuvre 55, Rue de Clichy
En 1892, Lugné-Poë fonde la Maison de l'oeuvre avec Maeterlinck, Camille Mauclair et Vuillard pour accueillir le symbolisme littéraire
et pictural. Ils y établiront jusqu'en 1920 un nouveau répertoire et révéleront de jeunes auteurs : Maeterlinck, Alfred Jarry, Tristan Bernard, Verharen, André Gide, Paul Claudel, Jean Sarment,
Cromelynck. L'infatigable Lugné-Poë fait découvrir aussi bien des auteurs étrangers : Ibsen, Strinberg, Oscar Wilde, Synge mais aussi Bernard Shaw, Gorki, Gogol... Il présente les premières
pièces de Marcel Achard, Stève Passeur, Armand Salacrou et fait débuter Pierre Brasseur.
Rénové depuis peu, il présente, aujourd'hui, sous la direction de Gérard Maro, des pièces contemporaines dans sa salle qui est
toujours aussi belle. Son répertoire accorde toujours une large place aux auteurs nordiques aux côtés de jeunes écrivains français
Château de Médan ( 78670)
Habité par Maurice Maeterlinck en 1924. Il y écrit La Vie des Termites, L'Araignée de verre et y fait jouer L'Oiseau bleu.Le château
est abandonné après la guerre, puis endommagé par un incendie en 1956. Le quotidien Combats'y installe jusqu'à sa faillite en 1977.
Le Comte de Milléant rêva en 1920, du plus fou des casinos de la riviera. Ce casino niché sur la basse corniche entre Nice et Monaco
ne verra jamais le jour, les travaux colossaux de terrassement et la naissance du casino du Palais de la Méditerranée sur la promenade des anglais engloutiront la fortune pourtant immense de
l’aristocrate.
La propriété fut ainsi rachetée en 1930, aux enchères à la chandelle, par le Comte Maurice Maeterlinck. Oubliant les tapis verts des
casinos chers à son prédécesseur, il construira une très belle demeure qu’il baptisera « Villa Orlamonde ». Haut lieu des plus belles fêtes de la Côte toutes les personnalités du monde
économique, politique et artistique s’y côtoieront.
Au décès de Maeterlinck en 1949, sa veuve y séjournera paisiblement jusqu’à sa mort, s’en rien modifier de la décoration sobre faite
de marbre et de lumière, mis en scène par son défunt mari.
La propriété restera ensuite dans l’oubli, subissant les outrages du temps ; Dans les années 80 un luxueux programme immobilier fera
renaître la villa Orlamonde : transformant la villa en vastes appartements, et achevant les terrassements longtemps oubliés datant d’un casinotier ruiné.
C’est en 1986 qu’un homme d’affaires suisse, Henri Ferdinand Lavanchy – fondateur du groupe de travail temporaire Adia – tombe à son
tour amoureux de ce lieu de nulle part….
Accomplissant les derniers travaux nécessaire à la destination hôtelière de luxe, il ouvrira ses portes à un public choisi en Avril
1990.
Aujourd'hui, ce sont 4 hectares de parc et jardins qui accueillent 12 chambres et 28 suites remarquablement assises sur la falaise
rocheuse admirant les caps d’Antibes et de St Jean Cap Ferrat.